X
Category:asdf 0
Reference
La Bible : La Sainte Bible contenant les saintes
La Bible : La Sainte Bible contenant les saintes
La Bible : La Sainte Bible contenant les saintes

La Bible : La Sainte Bible contenant les saintes écritures Ancien et Nouveau Testament (Edition Française Louis Segond ) :-« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres. (French Edition)

Product ID : 58038727


Galleon Product ID 58038727
Shipping Weight 2.54 lbs
I think this is wrong?
Model
Manufacturer
Shipping Dimension 9.02 x 5.98 x 1.57 inches
I think this is wrong?
-
2,601

*Price and Stocks may change without prior notice
*Packaging of actual item may differ from photo shown
  • Electrical items MAY be 110 volts.
  • 7 Day Return Policy
  • All products are genuine and original
  • Cash On Delivery/Cash Upon Pickup Available

Pay with

About La Bible : La Sainte Bible Contenant Les Saintes

La Bible : La Sainte Bible Catholique l'Ancien et Nouveau Testament (Ouvrage Edition Française) -« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres; car l'amour est de Dieu; Le mot Bible désigna d'abord le recueil des Écrits sacrés de la religion juive ; puis, quand le Nouveau Testament eut été constitué, il fut appliqué à l'ensemble des saintes Écritures, document normatif de la religion chrétienne et plus spécialement des Églises issues de la Réforme. Le mot Bible dérive du grec biblos qui désigne l'écorce intérieure du papyrus, avec laquelle on faisait le papier. Les livres écrits sur ce papier s'appelaient biblia. L'Église chrétienne, qui considérait les documents de l'A.T. et du N.T. comme les livres par excellence, les nomma, au V e siècle biblia, les Bibles =la collection des livres. Jérôme les avait déjà appelés une « bibliothèque divine » ou sacrée. Le terme grec biblia, neutre pluriel transporté en latin, fut peu à peu regardé comme un singulier fém., et « les livres » devinrent « le Livre » : la Bible. C'est ainsi qu'un titre destiné à faire ressortir la diversité des Écrits sacrés perdit sa signification première et parut au contraire avoir été choisi pour faire ressortir l'unité des saintes Écritures. Insensiblement la masse des chrétiens oublia, avec la multiplicité des ouvrages que renferme la Bible, la diversité de leur origine et la grande variété de leurs auteurs. On ne vit plus qu'un livre dont toutes les pages avaient la même inspiration, la même intention, avec un seul auteur : Dieu. Cette transposition, due à une assonance verbale, est intéressante à noter, parce qu'elle nous explique la cause première de toutes les résistances opposées par l'ensemble de l'Église à la science historique qui cherche à remettre chaque livre dans son milieu et à l'expliquer par son époque. On retrouve déjà l'expression « la Bible » en français au XIII e siècle chez Joinville. Wiclef s'en servit, et, par Luther, elle devint le mot qui désigna dans la Réforme les saintes Écritures. Les anciens Juifs disaient toujours pour la Bible hébraïque « les livres » (Da 9:2), ou, quand il s'agissait du Pentateuque, les livres de la loi, ou les livres de Moïse : (Ne 9:3 13:1) puis, les Écritures. Le mot grec biblia n'apparaît qu'avec le prologue du Siracide, et sa façon de désigner la troisième partie de l'A.T. par l'expression « le reste des livres » montre que, pour lui, la Loi et les Prophètes étaient aussi des collections de livres. Cependant la tendance de faire ressortir l'unité et la divinité du recueil sacré faisait déjà employer aux Juifs du temps de Jésus l'expression « l'Écriture », lorsqu'il s'agissait de citations de l'A.T.